L’artiste mondialement reconnu pose ses pochoirs à Marcq-en-Barœul, la ville où il réside depuis presque 30 ans, pour nous emmener dans son imaginaire.
« Je suis né avec le handicap du syndrome d’Apert. C’est comme ça. Il faut accepter et avancer » sourit Geoffroy. Le rencontrer, c’est recevoir une leçon de vie et d’optimisme.
A la suite d’une lettre du Père Ephrem évoquant la situation de crise dans le pays en avril dernier, Gérard Delescluse, président de l’association humanitaire Marcq Madagascar, partage ce témoignage bouleversant et nous donne des nouvelles de la situation actuelle à Madagascar.
Du 10 au 19 décembre, les deux amies participeront au « Raid des Amazones 2020 » qui se déroulera cette année à Chiang Mai au nord de la Thaïlande. Caroline Vanbaelinghem-Despatures, 47 ans et Manuelle Domingos, 45 ans, sont toutes deux mariées et mères de famille. Ces femmes déterminées, investies dans leur vie de famille et professionnelle, ont décidé, il y a quelques mois, de se lancer dans une aventure hors du commune : le Raid des Amazones, une épreuve 100% féminine non motorisée mêlant à la fois sport, solidarité et découverte.
Le conseil que Jeremy Guignette donne volontiers ? « Faites tout ce que vous pouvez pour réaliser votre rêve et donnez-vous les moyens de réussir ». Ces propos se comprennent à partir du son parcours. Sportif accompli – ceinture noire, troisième dan, il est a été classé à la troisième place avec son équipe, aux championnats de France de karaté en 2008 – ce jeune Marcquois dynamique a intégré très vite une grande enseigne d’articles de sport, dès la fin de ses études. Il y a exercé des responsabilités de direction jusqu’en 2016, date à laquelle il a donné sa démission pour vivre son rêve : suivre des études auprès de la célèbre école de l’image : les Gobelins à Paris, pendant deux ans et parfaire son don de l’illustration, sa passion.
Dans le cadre de son travail, Jean Sens est sensibilisé au recyclage des équipements électriques. Sa société de matériels de vente d’électroménagers mène un partenariat avec les Restos du Cœur. Chaque matériel récupéré ou recyclé donne droit à un repas pour les plus démunis.
Du haut de ses 1m65, Léa Charpentier ne pensait pas pouvoir défiler un jour, et pourtant… la voici en route pour représenter sa région et sa commune natale lors des élections de Miss Internationale France qui auront lieu le 18 octobre prochain à Roubaix.
Rencontre avec le chef formateur de la session cuisine, un Marcquois passionné et heureux de transmettre son savoir-faire.
On le savait journaliste, animateur radio et écrivain. Mais c’est sous un autre angle que Saïd El Boundati s’est révélé une nouvelle fois plein de virtuosité lors du confinement : « Je suis parti d’un postulat. Les soignants sont en première ligne, alors les applaudir c’est bien, les aider c’est mieux ». Le Marcquois a lancé une cagnotte sur les réseaux et ainsi collecté des fonds pour aider le personnel soignant.
1 enfant sur 10 se fait harceler à l’école. Statistiquement, vous, qui me lisez, connaissez au moins un, voire 2 ou 3 enfants qui souffrent de ce fléau. Peut-être s’agit-il de votre voisin, de votre petite nièce, de la fille d’un couple d’amis. Mais avez-vous envisagé que d’une manière ou d’une autre, le harcèlement scolaire puisse toucher votre enfant ? Votre frère, votre sœur ?
Passionnée de dessin depuis l’enfance, la Marcquoise de 24 ans s’est spécialisée dans l’enluminure et a lancé cette année sa micro-entreprise.
A seulement 11 ans, Louis est passionné par le karting et enchaine les compétitions. Très doué, sa famille recherche aujourd’hui des sponsors pour qu’il puisse poursuivre son aventure sportive.
Originaire de Marcq-en-Barœul, Julie Costanza a reçu en mai dernier un Molière pour la comédie musicale « Chance !» d’Hervé Devolder dans laquelle elle interprète le rôle de Nina Fleury.
Depuis le début de l’année, Capucine Deweer a adopté le vélo cargo.Elle nous raconte pourquoi elle a choisi ce moyen de transport
A 30 ans, le Marcquois, spécialisé dans le spectacle équestre, souhaite percer dans sa passion d’enfance : le chant. Il multiplie les concours et s’est inscrit à The Voice…
L’auberge de la Garenne a définitivement fermé ses portes ce week-end du 14 juillet. L’occasion de revenir cette institution qui a marqué l’histoire des Marcquois et de la Ville.
« Je choisis le vélo et parfois la voiture ». D’emblée, Reine Dubet, Marcquoise, met les choses dans le bon ordre : le vélo est son mode de transport quotidien. « Avant tout, c’est par conviction écologique. Il faut que chacun apporte sa contribution pour diminuer notre impact. Et puis, le vélo, c’est aussi un plaisir », souligne Reine.
La jeune Marcquoise de 14 ans du Boxing Club Marcquois a aujourd’hui sept titres nationaux à son actif en kick-boxing, boxethaï et K1. Depuis sa plus tendre enfance, Shaïna est attirée par le sport. Tout d’abord tentée par le football, elle se tourne vers la boxe à l’âge de six ans et franchi les portes du Boxing Club Marcquois pour ne plus jamais le quitter.
Dans la famille d’Yvan Poste, Marcquois depuis 15 ans, ils sont six : les parents et quatre enfants. Si bien que la voiture, il est difficile de faire sans. « On l’utilise pour les trajets courts mais pondéreux, pour les courses, ou bien le mercredi quand il y a le rush des activités des enfants. Mais on essaie au maximum de pratiquer le covoiturage avec les autres parents ».
Passionnée par les mots et le théâtre depuis son plus jeune âge, Alexandra Lafont, jeune Marcquoise de 16 ans, vient de remporter la seconde place et le prix du public au concours d’expression orale et de communication du Rotary Club.